TRADUCTION

lundi 27 février 2017

NAIROBI: 50 ans d'âge de la Sœur Clarisse Hanitra...


Oubliant le chemin parcouru,
                                je vais droit de l'avant,
                                                        je cours vers le but…
Le vendredi 24 février, alors que l’Eglise, notre Mère, fêtait  Saint Modeste et  sainte Modestine, la communauté « Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus » des carmélites missionnaires thérésiennes qui se trouve à Nairobi, elle, a fêté une de ses membres, en la personne de la sœur Clarisse Hanitra.
Et pour cause : en cette date mémorable, elle avait totalisé, jour pour jour, un demi-siècle d’existence sur cette Terre des hommes. Un jubilé d’or, ça se fête, d’abord et avant tout  spirituellement : à 6h45, la communauté a devancé le soleil pour rendre grâce au Seigneur par une célébration eucharistique présidée par le Père Jocelyn, membre de la compagnie de Jésus. Dans son homélie, le  célébrant a rappelé les merveilles que Dieu ne cesse de faire dans chacune de nos vies. Il a en outre précisé que l’expérience de 50 ans était une belle occasion que le Seigneur a offert à la sœur Clarisse de vivre tant de belles choses qui  lui ont fait grandir. A l’âge de 50 ans, Dieu lui a montré la bonne route à suivre. Elle a expérimenté l’amour de Dieu et du prochain. Pour conclure, le Père Jocelyn  a souhaité à la sœur Clarisse une longue vie pour continuer sa mission au sein de l’Eglise et de sa congrégation en  s’appuyant sur une devise : « Toujours avoir confiance en la Divine providence »


Pour joindre l’utile à l’agréable, à 18h 40, l’heure était au partage d’un verre d’amitié et d’un repas de fête suivi, tout naturellement d’un gâteau d’anniversaire.  Un couple ami de la communauté, deux frères carmes, deux frères maristes malgaches, se sont joints aux six carmélites missionnaires thérésiennes. Tout s’est déroulé dans une ambiance bon enfant.


D’ores et déjà, nous lui souhaitons une bonne route vers un autre jubilé car, tant que nous en avons encore l'occasion, il faut demeurer dans la course et  aller de l'avant. Mais ne nous faisons pas d’illusions :  sur cette Terre des hommes, Il  restera encore à la sœur Clarisse des sacrifices à faire, des larmes à verser, des victoires à remporter, des peines à soulager, des péchés à faire pardonner, des défauts à corriger, des qualités à améliorer, des dons à développer, des âmes à éclairer et à sauver. Dieu merci, du haut du Ciel, elle a quelqu’un qui la guidera : le bienheureux François Palau, le fondateur de la congrégation des carmélites missionnaires thérésiennes.

Quant à nous, nous prions pour la sœur Clarisse afin que Dieu lui comble de ses grâces, de sa force  et de sa sagesse dans sa mission comme carmélite missionnaire thérésienne en lui accordant, dans sa grande miséricorde,  ce dont elle a besoin pour servir l’Eglise, Dieu et le prochain et cela pour la gloire de Dieu et le salut des hommes.

 Terminons ces lignes par ces paroles de Saint Paul apôtre aux Philippiens 3,13-14 :



«  Non, frères, je ne me flatte point d'avoir déjà saisi; je dis seulement ceci : oubliant le chemin parcouru, je vais droit de l'avant, tendu de tout mon être,  et je cours vers le but, en vue du prix que Dieu nous appelle à recevoir là-haut, dans le Christ-Jésus.»

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