TRADUCTION

lundi 19 novembre 2012

NAIROBI : Les filles du Bienheureux Palau ont fêté leur Père Fondateur


Comme les deux branches d’un même tronc…

Comme les deux branches d’un même tronc, les carmélites missionnaires et les carmélites missionnaires thérésiennes se sont retrouvées à Langata dans la communauté des carmélites missionnaires. Un seul motif a été à la base de cette rencontre : la fête de Notre Père Fondateur Francisco Palau. 













Pour le faire, une messe a été célébrée le dimanche 4 novembre 2012 par le Père Joseph MBARU, carme déchaux, à 10h30 locales dans la chapelle des carmélites missionnaires. Dans l’assemblée, on a noté la présence, outre nous autres les filles de Francisco Palau, des communautés religieuses environnantes, des missionnaires laïcs palautiens ainsi que des amis et autres familiers.

Dans son homélie, le Père Joseph nous a replongées dans la spiritualité palautienne en  nous demandant d’être unies pour  marcher ensemble enchaînées par les chaînes de l’amour de Dieu comme nous l’a recommandé notre Père Fondateur,  le bienheureux Francisco Palau. C’est en suivant un même chemin que Jésus Christ sera notre guide, a conclu le Père Mbaru. Cette messe d’une heure d’horloge a été suivie d’un temps de retrouvailles pour le partage d’un repas fraternel dans un esprit de famille.















Trois jours plus tard, c’est-à-dire le mercredi 7 novembre, c’était le jour  officiel  de la fête du Bienheureux Père Francisco Palau. Cette fois-ci, chaque communauté a fêté chez elle, dans l’intimité. A la communauté Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus  des carmélites missionnaires thérésiennes, nous avions eu une célébration eucharistique à 18h30 présidée par le Père Floribert Kombi, assomptionniste. 

Ici aussi, le Père Floribert a eu des mots justes, pendant l’homélie, pour nous exhorter à vivre selon le charisme nous laissé par notre Père Fondateur  en mettant en avant plan l’amour de l’Eglise conçu par lui comme « Dieu et le prochain ». C’est la charité qui fera de nous un seul esprit en Dieu.  C’est toujours cette charité qui anime et vivifie les divers membres d’un même corps qu’est l’Eglise. A ce stade,  le Père Kombi nous a demandé de vraiment vivre l’unité dans la diversité, non théoriquement mais pratiquement.  Une heure après,  cette célébration a pris fin pour laisser la place au temps  d’un agapè entre consœurs d’une même communauté, un temps pour renforcer nos liens fraternels comme filles d’un même père.