Comme les deux branches d’un même tronc…
Comme les deux branches d’un même tronc, les carmélites
missionnaires et les carmélites missionnaires thérésiennes se sont retrouvées à
Langata dans la communauté des carmélites missionnaires. Un seul motif a été à
la base de cette rencontre : la fête de Notre Père Fondateur Francisco
Palau.
Pour le faire, une messe a été célébrée le dimanche 4 novembre 2012 par
le Père Joseph MBARU, carme déchaux, à 10h30 locales dans la chapelle des carmélites
missionnaires. Dans l’assemblée, on a noté la présence, outre nous autres les
filles de Francisco Palau, des communautés religieuses environnantes, des
missionnaires laïcs palautiens ainsi que des amis et autres familiers.
Dans son homélie, le Père Joseph nous a replongées dans
la spiritualité palautienne en nous demandant
d’être unies pour marcher ensemble
enchaînées par les chaînes de l’amour de Dieu comme nous l’a recommandé notre
Père Fondateur, le bienheureux Francisco
Palau. C’est en suivant un même chemin que Jésus Christ sera notre guide, a
conclu le Père Mbaru. Cette messe d’une heure d’horloge a été suivie d’un temps
de retrouvailles pour le partage d’un repas fraternel dans un esprit de
famille.
Trois jours plus tard, c’est-à-dire le mercredi 7
novembre, c’était le jour officiel de la fête du Bienheureux Père Francisco
Palau. Cette fois-ci, chaque communauté a fêté chez elle, dans l’intimité. A la
communauté Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus
des carmélites missionnaires thérésiennes, nous avions eu une
célébration eucharistique à 18h30 présidée par le Père Floribert Kombi,
assomptionniste.
Ici aussi, le Père Floribert a eu des mots justes, pendant
l’homélie, pour nous exhorter à vivre selon le charisme nous laissé par notre
Père Fondateur en mettant en avant plan l’amour
de l’Eglise conçu par lui comme « Dieu et le prochain ». C’est la
charité qui fera de nous un seul esprit en Dieu. C’est toujours cette charité qui anime et
vivifie les divers membres d’un même corps qu’est l’Eglise. A ce stade, le Père Kombi nous a demandé de vraiment vivre
l’unité dans la diversité, non théoriquement mais pratiquement. Une heure après, cette célébration a pris fin pour laisser la
place au temps d’un agapè entre consœurs
d’une même communauté, un temps pour renforcer nos liens fraternels comme
filles d’un même père.
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