TRADUCTION

samedi 4 octobre 2014

FRANCE: UNE ANNÉE DE MISSION DES CMTs A LYON....

                   Des raisons d’espérer…

Soeur Marie-Thérèse Kavira
Cmt/ Lyon (France)
C’est en remplacement des sœurs Franciscaines que le Cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon a fait appel aux sœurs carmélites missionnaires thérésiennes pour assurer la relève et ainsi continuer l’apostolat à la maison où a vécu la vénérable Pauline Jaricot, fondatrice de l’oeuvre de la propagation de la foi. Une année d’apostolat déjà accompli, il y a des raisons de rendre grâce au Seigneur pour ses merveilles ! Dans les lignes qui suivent, la sœur Marie-Thérèse parle de leur mission précise et de la répartition des tâches en vue de faire avancer l’apostolat qui leur est confié. En bonnes filles du Bienheureux François de Jésus-Marie Joseph Palau (François Palau Y Quer), elles mettent au service de l’Eglise, mystère de communion, leurs dons et talents.

0=0=0=0=0=0=0=0=0=0=0=0=0=0

Une année de mission en terre lyonnaise…
                                                   Une merveille du Seigneur !
On se souvient encore : le 30 septembre 2013, le cardinal Philippe Barbarin archevêque de Lyon a installé officiellement  notre communauté des carmélites missionnaire thérésiennes à Lorette, maison de Pauline Jaricot.
Pour ceux qui ne la connaissent pas, rappelons que Pauline Jaricot est née à Lyon, le 22 juillet 1799, dans une famille des riches industriels. Dès l’enfance, elle reçoit une bonne éducation chrétienne. A la suite d’une grave maladie, dont elle en sort guérie de corps et d’âme ; de la mort de sa mère en 1816  et touchée par la grâce à saint Nizier, elle décide de servir Dieu uniquement, prête à se consacrer à tout ce qui concerne la foi. Elle fait, en privé, le vœux de chasteté et adopte le mode de vie et la manière de s’habiller des pauvres ouvrières. Grâce à son frère Phileas qui se préparait pour la mission en Chine, Pauline est informée des situations critiques des missions. Elle fonda la propagation de la foi, le rosaire vivant et travaillant intensément pour la cause des ouvriers. En 1862, elle meurt dans le dénuement total. Signalons tout de même qu’elle priait aussi pour l’unité des chrétiens.
Maison Pauline Jaricot :

                        lieu de mémoire, de mission et de prière

NOTRE MISSION DANS SA MAISON : faire de celle-ci un lieu de mémoire, de mission  et de prière ;  elle accueille des milliers des personnes en provenance de tous les coins du monde. 
Nous sommes une équipe de quatre sœurs carmélites missionnaires thérésiennes. Chacune de nous a une tâche précise afin de mener à bien la mission qui nous est confiée, répartie de la manière suivante :
La sœur Joséphine est responsable de la maison, c’est-à-dire directrice du centre. Elle a en charge la coordination des activités en faisant le lien entre les personnes.
La sœur Elisabeth s’occupe du service des veilleurs missionnaires. Concrètement, elle attribue à ceux-ci  un diocèse du monde en vue de le porter dans la prière. Ces personnes peuvent contribuer à la mission de l’Eglise selon leurs possibilités. La plupart d’entre elles, bien qu’avancées en  âges, manifestent leur désir de soutenir l’Eglise par leur prière et leur sacrifice. Ajoutons aussi que la sœur Elisabeth s’occupe du bulletin « prions ensemble » qu’elle rédige tous les deux mois à l’intention des veilleurs missionnaires.
La sœur Marie-Denise fait son apostolat auprès des malades dans le domaine de la pastorale de la santé.
La sœur Marie-Thérèse  est affectée dans la pastorale diocésaine des jeunes, principalement dans l’aumônerie de l’enseignement public.
Faisons remarquer qu’en cette même date du 30 septembre 2014, la sœur Marie-Thérèse a renouvelé ses vœux de religion. 
La messe anticipée de sainte Thérèse de l’enfant Jésus a été célébrée par père Robert Tumu, et concélébrée par le père Charles –Arsène.
Après la messe, nous avons partagé un verre d’amitié.




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire