Viens, Esprit Saint …
remplis les cœurs de tes fidèles…
Comme on le sait, le
premier jour est généralement celui de l’accueil officiel. Le chapitre étant un
événement important dans la vie d’une province, quoi de plus normal que de se laisser saisir par l’Esprit Saint.
C’est lui, l’Esprit qui vivifie la vie de l’Eglise ainsi que celle de chacune
de nous.
Poussées par cet élan, et pour débuter notre chapitre, à 16 heures, nous avons entonné un chant de l’invocation à l’Esprit Saint, Esprit de sainteté, de sagesse et d’amour afin qu’il renouvelle nos esprits. La parole de Dieu extraite de la lettre de Saint Paul aux Ephésiens est venue à notre secours aussi.
Poussées par cet élan, et pour débuter notre chapitre, à 16 heures, nous avons entonné un chant de l’invocation à l’Esprit Saint, Esprit de sainteté, de sagesse et d’amour afin qu’il renouvelle nos esprits. La parole de Dieu extraite de la lettre de Saint Paul aux Ephésiens est venue à notre secours aussi.
Après cette prière à l’Esprit
Saint, la parole est revenue en premier à la sœur Victorine Bagalwa, notre provinciale
qui a remercié notre Mère générale et sa conseillère, la sœur Odette Gapira, d’être
venues accompagner ce grand moment dans notre processus de croissance.
A toutes les sœurs capitulantes, elle a
souhaité la bienvenue. Il faut dire que ce sixième chapitre provincial est
placé sous le signe de l’espérance. Car, ce temps est celui du passage de Dieu
au milieu de nous. Pour cela, il nous est
demandé de le vivre dans la foi. Cette vertu théologale est plus que nécessaire
en ce moment où il nous faut faire le bilan et planifier l’avenir, moment de la
prise de conscience de notre identité, bref, moment de nous ré humaniser. La
foi nous est plus que nécessaire aussi car il nous faut faire une joyeuse
évaluation de la congrégation et surtout de notre province en vue de sa
nouvelle configuration par les élections et autres nominations.
Pour sa part, notre
supérieure générale, la sœur Luisa Ortega, nous a rappelé que le chapitre provincial est
l’organe le plus important de la province et donc, chacune des capitulantes
devrait prendre conscience de son rôle comme une « envoyée » par sa
communauté.
Après quelques points
pratiques, nous nous sommes rendues à la
chapelle pour la prière suivie du souper et de la recréation.
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