Pour fêter
leur Père Fondateur, les carmélites missionnaires thérésiennes qui travaillent
à Goma ont programmé une messe ce jeudi 7 novembre 2013.
Le Père Carme déchaux
Albert Tampwo, vicaire de la paroisse Notre Dame du Mont Carmel a accepté de
présider cette célébration qui a connu la participation de toutes les
carmélites qui œuvrent dans la ville de Goma. Les communautés « Marie,
Mère de l’Eglise », « Saint Kizito » et « Edith
Stein » étaient présentes.
Avec
elles, il faut joindre les aspirantes carmélites et les Missionnaires Laïcs Palautiens.
Ce n’était pas tout : Il y avait aussi quelques échantillons
représentatifs des celles et ceux qui travaillent dans les différents
domaines qui constituent les
« Œuvres » des carmélites : les enseignants du complexe scolaire
« Teresa Mira », les personnels du Centre de Santé de Référence « Notre
Dame du Mont Carmel », le personnel de l’atelier de couture.
Tout compte
fait, la chapelle de la communauté « Marie Mère de l’Eglise » qui a
servi de cadre a accueilli une bonne cinquantaine de participants qui composait
l’assemblée pour cette célébration festive qui a commencé à 15h30.
Francisco Palau :
un carme passionné pour l’Eglise…
Dans son homélie, le
Père Albert a parcouru la biographie du bienheureux Palau pour souligner le
fait que sa vie a connu des situations incommodes car il apparaissait aux yeux
des ennemis de l’Eglise comme un prophète qui dérange, ce qui lui a valu dix
ans d’exil. Mais cette situation n’a pas freiné son élan apostolique et son
zèle à défendre l’Eglise. Le célébrant a insisté sur la passion qu’avait le
bienheureux Palau pour l’Eglise qui est pour lui le Christ « Contemplé et
aimé non comme un seul individu, mais comme la tête d’un corps, un tout ».
C’est toujours cette passion pour L’Eglise qui lui fera dire ces paroles :
« Je dois
aller d’un bout
à l’autre de
l’Espagne
et
travailler de toutes mes forces
au salut des
âmes,
là où s’ouvrira
à moi un chemin ».
C’est à 17 h que
prendra fin cette eucharistie.
En famille, tous les
invités et les membres des communautés des carmélites, tous ont eu un temps de
retrouvailles et de partage d’un verre fraternel. Comme à l’accoutumée, sketchs,
musique et pas de danses ont agrémenté ce moment récréatif avant de se séparer.
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